dimanche 19 avril 2009
La liste qui fait mouche???
Bien que j'aie 1m40 de repassage, des bouquins et du sommeil en retard, ce soir je vous livre la liste peut-être tant attendue de mes icônes masculines, des objets de mes phantasmes adulescents. Dix gars triés sur le volet, qui sèment paillettes et papillons sur mes battements de cils, sur mes battements cardiaques.
Puisqu'il faut les numéroter, sachez que je ne les classe pas dans un ordre de préférence!
En vrac, un par un, en bloc ( rooohhh...) mélangés, sans dessus ni dessous ( slurp...), je les aime...
1. TOM BARMAN. Un homme de charme, de génie, de délires, de fêtes, de création décalée et innovante. Parce qu'il sait porter avec élégance une chemise Dior sur un jean défoncé. Parce qu'il affiche sur son visage les traces de son vécu. Parce qu'il a TOUT vécu. Parce qu'il a de la malice dans le regard. Parce qu'il m'a refilé des orgasmes musicaux à tous ses concerts. Parce que le phantasme se teinte de possible. Après tout, il habite à deux heures de chez moi!!!! Et ces orgasmes passés deviendraient véritables!!
2. JASPER STEVERLINCK. L'autre belge. L'autre possible. Je reste fidèle à des amours pérennes depuis mes 18 ans. Sa voix, l'une des plus belles en ce bas monde, ses boucles, son visage angélique, ses bras sculptés, son sourire, ses airs doux et proprets...rien d'aride ( le jeu de mots du siècle ;-)) en moi!! Je m'envole!! La mouche frétille, virevolte!!!! J'arriiiiveeeee!!!!
3. HUGH JACKMAN. ( Oui, il fait une entrée fulgurante et a évincé quelques autres prétendants cette semaine.) Est-ce possible d'être foutu comme lui??? Il est parfait ce type!!! Il pourrait me soulever d'un bras et ça me donne des idées de voyages, je ne vous dis que ça. En plus d'être viril comme personne, il a l'air tendre, attentionné. Je suis tombée en amour il y a quelques jours, en le voyant sur le plateau d'un jt. Je l'avais sous les yeux depuis tout ce temps sans m'apercevoir de sa splendeur. Hugh, pardon, viens battre ma coulpe... Ceci dit, pas touche aux pères de famille dignes de ce nom. En plus, il adore ses mômes et adopte un style de vie classe et simple...Tout compte fait, je veux qu'il m'en fasse un de moutard!
4. SEAN PENN. Un talent, une gueule, un esprit, un regard tantôt perçant tantôt plaintif. Oui, c'est bien de faire kiki avec une plastique de rêve, c'est encore mieux d'assouvir ses désirs avec un homme, un vrai, un mûr, doté d'une cervelle exquise. Je me vois bien taper la discute avec lui dans des draps défaits, une cigarette aux lèvres.
5. MIKA. Ou le retour de la mouche fascinée par ce personnage, encore un angélique à la peau glabre, beau comme une peinture de Michel Angelo en chair et en os. Pétillant, souriant, sautillant, haut en couleurs...S'il était mon modèle, je m'appliquerais à peindre des nus immediately au lieu de peindre des croûtes, juré craché.
6. ADAM LEVINE. Lui, en une seule bouchée! N'importe où, n'importe quand, pourvu que cela soit sauvage! J'en ai la plume coupée!! J'écris juste qu'il pourrait me faire croquer tous les fruits défendus.
7. CALEB FOLLOWILL. Un nouveau venu dans mon Olympe, un éphèbe rock'n'roll, encore un tatoué déglingué. Depuis qu'il a coupé sa vilaine tignasse et sa barbe grotesque, il a réveillé la groupie délurée qui sommeillait dans mes veines. Une groupie aguichante qui chanterait "Sex on fire" sur scène avec lui, devant une foule temblante. Je chanterais certes, mais je toucherais volontiers.
8. RODRIGUO SANTORO. Le voilà, l'Hidalgo par excellence. Le radar de la mouche est un peu défectueux sur ce cas. J'ai des doutes mais je testerais avec délectation la marchandise pour en avoir le coeur net.
9. ROMAIN DURIS. Un chouchou. Un coup de foudre. Une valeur sûre. Une autre histoire de longue durée, un maître choix dont jamais je ne doute. Les mauvaises langues me diraient qu'il est à voile et à vapeur. Je m'en tape. Dieu! Qu'il dirige mon gouvernail, qu'il m'emmène sur des mers tempêtueuses, qu'il soit mon marin, je serai sa Pénélope!
10.COLIN FARRELL. Last but not least. Sous ses airs de goujat, je le sais, se cache un homme blessé et ça, ça!!! Ca m'émeut, ça me retourne, ça me transporte! Colin, si par bonheur un jour tu tombes sur ces quelques lignes, sache qu'elles ne sont pas nées d'une lubie, d'une envie frivole et instable!! Tu as déjà visité Bruges, alors remets le couvert et viens à ma table liégeoise! Je te ferai des bons p'tits plats, je te cuisinerai all night long. Tu seras aux p'tits oignons et réconcilié avec l'amour!! Viiiieennnnsssss bordel!!!! Chez Lolotte, la vie est belle!!
Retour à la réalité. Je vais enfiler un vieux t-shirt, me démaquiller, défaire mon chignon, me plaquer de l'anti-rides autour des yeux, mettre mes lunettes et glisser dans mon grand lit tout froid avec un bon bouquin.
L'insecte ne va pas butiner ce soir...
Demain est un autre jour!
Je vous souhaite des phantasmes à n'en plus finir, des idées cochonnes à mettre en pratique, des jeux, des peaux à découvrir, à cajoler. Je vous souhaite tout simplement, en rêve ou en vrai, de vous sentir vivants!!
So long.
Lolotte.
vendredi 17 avril 2009
Rubrique "Paul et Mick" (ou "Des bas et déo")
Un pour ou contre au féminin, avec crêpage de chignon et arrachage de repousses de poils en perspective.
Les filles, cette rubrique est votre rubrique, lâchez-vous (chômeuse ou pas!).
Premier débat donc: pour ou contre Coeur de Pirate?
Allez, on argumente et on ne me laisse pas me prendre un bide!
mardi 14 avril 2009
Someone's gotta go
Cette crise, qu'on nous balance à toutes les sauces, est une manne providentielle pour les "cerveaux" de l'entertainment.
En effet, la prochaine émission de télé-réalité d'Endemol, qui s'appellera "Someone's gotta go" (ou "quelqu'un doit partir") va permettre à une entreprise en proie à des difficultés salariales, de virer - pour de vrai - un de ses employés. Et pas de la façon la plus digne, puisque ce sont ses collègues qui désigneront ledit futur licencié.
Tous les coups sont permis, y compris évoquer les liaisons des collègues, leurs petits vices cachés, et pour aider les candidats dociles dans ce choix difficile, l'entreprise mettra à disposition des employés, les dossiers individuels de chacun.
Ce n'est donc rien de moins qu'une guérilla en cols blancs, que la toute puissante entreprise d'entertainment va offrir aux téléspectateurs avides de spectacle malsain.
Des employés qui vont s'entretuer comme des gladiateurs dans une arène, jusqu'à que le meilleur gagne et obtienne la grâce de l'Empereur, ou plutôt... de leur patron, qui,lui, ne fait -bien entendu- pas partie du jeu.
Et ça me dégoûte. Ca me dégoûte, parce que ça va marcher, parce que les gens, les bêtes gens, vont regarder cette émission. Parce que les médias vont en parler. Parce qu'Endemol va se faire plein de fric et qu'il proposera, inlassablement, d'autres fausses bonnes idées comme celles-là, et qu'il les puisera dans notre système où la loi du plus riche est toujours la meilleure, et où la décence, l'empathie et la solidarité, dont tu parlais Féline, ne sont plus des valeurs sûres.
La consommation est devenue l'opium du peuple. Et nous sommes tous dépendants.
Jack.
L'immeuble de chômeurs
Je me suis réveillée en sursaut cette nuit, prise d'une profonde crise d'angoisse, suant des gouttes grosses comme des outres, ressentant dans mon fort intérieur un manque oppressant. Plus d'une semaine que je n'avais plus rien posté sur ce blog!
Quoi? Mais comment est-ce possible? On ne peut pourtant pas dire que mon agenda de chômeuse me prenne tout mon temps! Que s'était-il donc passé???
Après un rapide survol de mes occupations de cette semaine (les courses du lundi, le ménage du mardi, et le reste dédié à internet), j'ai du me rendre à l'évidence...j'avais perdu l'inspiration...sans même m'en rendre compte!
Je ne savais plus ce que j'en avais fait!
J'ai donc décidé de relire mes écrits en tous genres, espérant retrouver le fil d'une pensée, ou l'ombre d'une idée avec laquelle je n'arrivais pas à renouer.
Sans succès.
C'est là que m'est revenu en mémoire un vieux dicton néo-zélandais, ou tibétain je ne sais plus, qui m'aiderait certainement à retracer mon chemin à travers le Monde des Idées : « à quoi sert de chercher loin ce qui se trouve tout près? ». Forte de cette philosophie enivrante, j'ai donc décidé d'ouvrir les yeux, et de regarder...ce qu'il y avait de plus près....mes voisins!
Eurêka! J'avais trouvé!! En voilà, un beau sujet de conversation, pour toutes les concierges qui sommeillent en nous : les voisins!
Il faut dire que les miens sont un peu particuliers...ils sont, disons, spéciaux...car je ne vous ai pas tout dit...je vis dans un immeuble de chômeurs! Des collègues, donc! Et un immeuble de chômeurs, ça ne fonctionne pas de la même manière que n'importe quel immeuble...car oui, j'ose le dire, les chômeurs sont des gens « à part »!
Pour commencer, parlons de la concierge, justement! Ma concierge à moi est un beau jeune congolais, qui aurait pu tourner dans un clip de Jennifer Lopez, sauf qu'il est trop souvent habillé à mon goût! C'est plus fort que moi, quand je le vois suer en récurant le sol de l'entrée, je me sens le devoir de lui conseiller de se dévêtir un peu...c'est vrai, quoi, entre voisins, c'est normal...non?
Vous me direz « mais il n'est pas chômeur, puisqu'il est concierge »...oui, je le pensais moi aussi, jusqu'à ce que j'apprenne dernièrement qu'il n'était en fait pas concierge du tout, mais seulement un fanatique du nettoyage. Mais je continue quand même à l'appeler « le concierge », question de fantasme...
Faut dire que quand on est chômeur, on s'emmerde grave, si vous me passez l'expression, alors il faut bien se trouver une occupation. Et puisque l'Onem vous ordonne de rester « disponibles sur le marché de l'emploi », vous êtes censés rester chez vous 24h sur 24, au cas où un employeur viendrait sonner à la porte...il n'y a vraiment que l'Onem pour croire ça!
Bref, retournons à mon immeuble!
L'intérêt, quand on vit dans ce genre d'endroit, c'est qu'on a tous le même rythme. Les premiers signes de vie ne se font pas entendre avant 11h, notre « aube » à nous. On dîne en plein milieu de l'après-midi. On sort les poubelles à 4h du mat...juste après le souper. Même le facteur ne passe pas avant midi! Et l'on ne trouve pas cela inadmissible que l'un d'entre nous fasse la fiesta jusque 5h, puisque de toute façon on ne doit pas se lever tôt! C'est cool, un immeuble de chômeurs...
C'est cool...mais ça me fait quand même réfléchir sur l'état de santé de notre société, de même que tous les travailleurs qui liront cet article, j'imagine. La Belgique aurait-elle créé une génération de fainéants et d'assistés? La réponse est oui! Mais la faute à qui?
Quand je pense que l'état a mis en place des institutions censées nous aider à trouver du travail, et que ces institutions en questions passent plus de temps à vous créer des ennuis administratifs qu'à se préoccuper de votre recherche d'emploi, je me demande si finalement le système ne s'est pas retourné contre lui-même.
Je me souviens très bien de mon premier entretien avec un job coach, qui m'a clairement expliqué que je ne correspondais pas aux critères classiques d'un chercheur d'emploi, et que je devais donc me débrouiller toute seule. Ce que j'ai fait, pendant 4 ans. Mais malheureusement le domaine du cinéma et du socio-culturel n'est pas un domaine qui rapporte, donc mon expérience est considérée comme nulle aux yeux des « contrôleurs ». Je me rends bien compte que ma discipline est loin d'être habituelle, mais je ne pense pas être la seule dans ce cas. Quid de tous ceux qui n'ont fait ni le droit, ni médecine, ni commu, ni science-éco, ni plombier?
Peut-on encore qualifier ce système de « social »? Dans un pays à l'agonie où le chômage augmente aussi vite que s'agrandit le trou dans la couche d'ozone, trouver un emploi relève du défi. « La crise », me direz-vous! Elle a bon dos, la crise! Elle offre surtout un prétexte aux employeurs frileux pour n'engager personne. Les riches s'enrichissent, les pauvres s'appauvrissent, rien de neuf sous le soleil capitaliste. Non, je ne suis pas communiste, juste un peu anarchique. Mais comment ne pas avoir la nausée en réalisant que « précarité » ne rime plus avec « solidarité ». Depuis cette fameuse crise, je suis sûre que plus personne ne donne de pièces aux mendiants...je le sais, je l'ai pensé moi aussi! Et je ne m'en suis pas sentie particulièrement fière! Le tout est de savoir si nous sortirons de cette crise grandis....
L'accès à l'aide sociale en Belgique s'assimile au parcours d'un inculpé. Vous n'êtes plus présumé innocent, mais bien coupable, par principe. Coupable de ne pas avoir de revenus! Et c'est là que l'enquête commence. Ils cherchent, fouillent, scrutent votre vie pour y déceler la moindre trace d'une activité douteuse qui leur permettrait de ne pas avoir à vous aider. Une aide sociale qui n'aide personne...nous voilà bien aidés! Vos extraits de compte sont passés au peigne fin, et pour trouver quoi? Que je n'ai jamais eu plus de 700 euros sur mon compte depuis deux ans?
Quand finalement tous les indices ont été minutieusement récoltés, ils décident alors si oui ou non vous méritez (car oui, le droit de survivre se mérite chez nous!) de faire partie de ce qui est devenu un cercle privilégié, celui des assistés.
J'entends souvent autour de moi « honte à ceux qui travaillent au noir! », « honte à la fraude sociale! »...oui, vous devriez avoir honte de ne pas accepter votre situation misérable et, surtout, d'essayer de vivre mieux! C'est tout à fait scandaleux!
Par contre, la fraude fiscale (exercée par la moitié des Belges), les parachutes dorés, les détournements, ça n'a l'air de révolter personne!
Alors non, la nouvelle génération n'est pas fainéante, car je vous prie de croire qu'il faut une sacrée dose de motivation pour se débrouiller dans un système démissionnaire! Une sacrée dose de motivation pour ne pas tomber dans l'oisiveté!
Donc, mon immeuble de chômeurs n'est malheureusement pas une exception, il n'est autre que le reflet de notre pays face au contexte actuel : décalé.
Féline-talkin'-bout-a-revolution
jeudi 2 avril 2009
Résultat du sondage (sur le tard)...
Rubrique Oh Yeah! Oh Yeah!

Amis ménestrels, amateurs de cuisine du terroir, d'inventifs cocktails et d'Irish Coffee, cette annonce est pour vous! Ouvrez grand les oreilles et l'esprit, un P'tit Cabaret a ouvert ses portes en terre brabançonne, dans les contrées archennoises. Outre vous délecter des mets susmentionnés, vous pourrez bientôt y écouter de petites histoires fredonnées par moi-même et accompagnées par Zilo, mon ami troubadour. Et faire la connaissance d'autres artistes en herbe ou confirmés. En attendant de vous fixer un premier rendez-vous très prochainement en bord de scène ou sur un coin de table, nous vous invitons chaleureusement à venir y découvrir la cuisine de Michel et de Geneviève.


mardi 24 mars 2009
La liste de Féline
mercredi 18 mars 2009
Ma première Réunion Tupperware
Arrivée avec quelques minutes de retard (45 pour être exacte) sur le tarmac bruxellois, la soirée commença pourtant sous de mauvais auspices, alors que je me prenais mon premier bide de la soirée, interpellant au loin une femme que je pensais être mon amie Véro, qui devait elle aussi vivre ce voyage initiatique vers le jardin des délices sous vide. Je craignais en effet tant ce rite de passage que je m’étais convaincue sur le moment que cette femme qui sortait de la voiture, bien qu’un peu potelée, était bien ma chère Véro. Râté ! Ne perdant une once de dignité mais y gagnant encore en sentiment de solitude, je m’avance alors vers l’immeuble censé abriter la petite sauterie, et pénètre dans la cage d’ascenseur qui devrait me mener au Nirvana des boîtes Curver…Bon, j’avais dit que je la ferais courte, j’accélère donc : 4ème étage – Bonjour – Enchantée – Et Véro, elle vient pas ? – Ah ça a l’air bon – Oui mais t’as déjà loupé la première entrée – Et ça, à quoi ça sert ? – 30 Euros – Tiens et ton mec il est où ? – Et toi tu bosses où ? – C’est un peu trop salé – quoi, 30 Euros ? – Au dressage avec le chien – Normal y a des lardons – Oui, mais on paye la qualité – Et Véro elle vient pas ? – Dis, il pue ton clebs – P52 c’est quoi cette sphère un peu cônique ? – Y a Véro qui demande si c’est près L’avenue Rogier– Waouw, c’est bon ! – Et ça en jette pour l’apéro!...
Finalement, quelques mises-en-bouche (ou, devrais-je dire plutôt d’engouffrages-dans-le-gosier), verres de blanc (soirée gonzesses on vous dit !!), une arrivé de Véro et un départ de la maîtresse-de-cérémonie plus tard, on se retrouvait toutes avec une note bien salée à régler plus tard à notre hôtesse, bien qu’aucune de nous n’eut semblée ce soir-là - aux dires des participantes elles-mêmes - la reine du rouleau à pâtisserie ! Mais bon, je suis finalement ravie-ravie-ravie de ce petit shaker à vinaigrette (article le moins cher du catalogue) dont il est plus que probable que je me servirai pour faire des cocktails…Non, mais faut pas rigoler, housewife d’un soir ne veut pas dire housewife de toujours ! C’était bien sympa, mais ça s’arrête là, je rends mon tablier !
Mais merci quand même Laeti, c’était une expérience hors du commun et, dans mon cas, c’est peu de le dire !
Bien à vous,
Drich, haute perchée sur un trampoline au soleil…
dimanche 15 mars 2009
Oh mais!
http://www.youtube.com/watch?v=xGc36eRnpPM
Et j'apprécie tout autant les chanteurs...
Et vous, vous avez une chanson à votre nom?
Laetitia, Adeline, Nathalie, Gabrielle et Ouna, montrez-vous!
Drich
* Pi fourte, c't'un blog, quand même!
jeudi 12 mars 2009
Pic-Pic Adri (ou : après la mouche, le moustique)
mardi 10 mars 2009
Une vie de mouche...
Comparer son quotidien à celui d’une bêbête. Après tout, la métaphore n’est pas nouvelle, il y a eu Sartre, La Fontaine, Kafka et d’autres Plumes ( la mienne porte une minuscule !) pour divaguer sur le sujet.
J’aurais aimé trouver une idée originale, une métaphore inédite mais je suis comme je suis…et je suis une mouche !!!
J’aurais pu choisir un autre insecte un peu plus glamour, un papillon aux chattoyantes couleurs, une mante religieuse mais loin de moi toute prétention ! Je ne vous dois que la vérité. ;-)
Rien qu’une mouche.
Même pas une bourdonnante, même pas une à caca, pas la tsé tsé, même pas une mouchette de poubelle.
Malgré moi, je suis une mouche à pédés.
Je me permets de lâcher le mot interdit car ce sont eux qui m’ont ainsi baptisée.
Mais comment se reconnaît-on mouche à Zaza Napoli ? Je vais décliner mon identité en racontant quelques anecdotes.
Petite, au cours de solfège, j’étais déjà amoureuse du seul garçon soprano de la classe. Nous suivions la même partition, chantions les mêmes portées survolant les octaves supérieures, les mains entrelacées sous le banc. Alors que les autres se moquaient de la voix fluette de ce mignonnet au teint rosé, moi, dès qu’il poussait une note, mon cœur battait la chamade.
Les soirs de sortie des parents, mon frère et moi aménagions une piste de danse dans le salon, en poussant les lourds canapés, pour apprendre les chorégraphies de Madonna. D’autres études étaient consacrées à Lisa Minelli, travaux pratiques sur les chaises de cuisine, en maillot de bain, crème Nivéa plaquée sur les yeux pour copier son costume et ses faux cils blancs de « Cabaret » !
L’autre frère se chargeait de mon éducation musicale, en me collant du Queen dans les oreilles. Mais j’aimais encore plus les salopettes ultra moulantes de Freddy et le clip d’ « I want to break free ».
Oui, j’ai grandi avec un frère de l’autre rive. Conditionnement ou ouverture d’esprit ? Cela m’a sans doute façonnée.
Mais même sans son coup de pouce, j’ai toujours été fascinée, attirée par la féminité refoulée ou affichée des hommes.
J’ai vu « Farinelli » cinq fois au cinéma, je trouve qu’Antonio Banderas n’a jamais été aussi sexy que dans « Philadephia », je n’ai pas reporté le complexe d’Œdipe sur mon père ( qui dans la trentaine promenait un physique à la Magnum, over poilu et musclé !) mais sur mon plus grand frère, alors imberbe et muant !
J’avais le béguin pour mon prof de solfège. Lui aussi, un homme, ô, comme ils disent !
Certains de mes galants d’adolescence ont viré leur cuti, d’autres ont vogué à voile et à vapeur… J’ai hurlé de rire quand, il y a quelques temps, au détour d’une soirée, j’en ai recroisé un dans une posture « gay trashy »…
Et toutes mes histoires amoureuses ou sexuelles sont truffées de curieux petits détails : il est coiffeur, il a de petites manières, il fait pipi assis, il soigne sa pilosité aux aisselles, il ne porte jamais de large caleçon en coton, il est bi, il regarde en boucle les dvd de Sissi ou d’Angélique les dimanches de pluie, il vénère sa maman, il se met de la crème de nuit, il boit du Coca Light et refuse le Zéro ,il a peint son appart en rose pâle, il m’emmène pour une séance intensive de lèche-vitrines, il pleure au cinéma, il sait dire qu’un autre est canon sans perdre un pan de dignité…
Bref, je ne suis pas habituée aux hommes qui se grattent les couilles au réveil, qui laissent traîner des poils dans la baignoire ou la lunette des toilettes relevée, qui ne savent pas recoudre un bouton, qui rentrent à temps pour ne pas rater l’hebdo sportif…
Les prototypes virils à souhait me refroidissent, m’indiffèrent.
SUIS-JE NORMALE ?
Je pourrais me lancer dans une thérapie freudienne, révélant un rejet de l’image paternelle, la peur d’être malheureuse dans le classique schéma de couple judéo chrétien…
Vous savez, je m’en fiche comme de ma première bambinette.
Cette vie de mouche en rose nacré me comble ! J’adore être draguée par Zaza dans la file du supermarché, je suis attendrie par les coups de fils donnés à sa maman, je raffole qu’il me lisse les cheveux…
Jusqu’au jour où, peut-être j’accepterai de rincer la baignoire après son passage !
Lolo, asa the Gay’s Fly, probably looking for her perfect man, no matter who he is…
Kisses et rendez-vous pour the Flying List!
dimanche 8 mars 2009
La liste de Jack
Chris Martin - La barbe de deux jours, même en blond, ça en jette
Colin Farrell - La barbe (ténébreuse) de trois jours + les cuisses musclées et la petite jupette macédonienne + le côté grand chef avec une blessure d'enfance + L'accent irlandais = la combinaison parfaite!
Tom Boonen - Il était pas mal en blond ;-) Et puis j'ai toujours eu un faible pour les flamands
Jude Law - Le charme anglo-saxon tout en retenue, et les rôles sombres avec son regard clair
Gotié Olivier Bois - Pour son côté insulaire
Kevin Costner - Pour son côté justicier passionné dans Robin Hood, Les Incorruptibles et JFK
Johnny Depp - Il pue le sexe, tout simplement!
Al Pacino - Parce qu'il est italien et que p*****, qu'est-ce qu'il est beeeeaaaaauuuu dans le Parrain I!
Robert Redford - Parce qu'il murmure bien à l'oreille des chevaux. Sa chevelure dorée me rappelle d'ailleurs celle du cheval dans la pub pour la bière "Palm".
Lenny Kravitz - Pour le côté rock'n roll, et pour les quotas (Min noooooon, je déconne)
Fantasising Jack'
Me and my celebrity milshake man
Avec un nom pareil, on ne pouvait pas éviter LE sujet bien longtemps. Alors on se lance, avec du soft. Une rubrique qui ne mange pas de pain et qui fera une jolie transition avec les aventures de la Gay’s Fly ou de Clem « au pays des hommes » (bien qu’il n’y sera pas uniquement question de sexe).
Car au Sex in the Bled, nous avons (aussi) nos fantasmes. Et qui dit « fantasme » dit « inaccessible », « rêvé » voire « interdit ». Alors dites-nous : qui est-il, ce bel Apollon du câble qui vous fait vibrer en secret ? Quel est le jeune hidalgo des salles obscures qui vous donne envie de croquer illico presto dans un Magnum ? Quel homme politique admirez-vous, la bouche en cœur, prononcer un discours (yes we can, yes we can) ? Quel beau mâle de votre quartier provoque un carnaval dans votre petite culotte *? Quelle est la femme au regard de braise pour qui vous pourriez virer votre cuti ? Pourquoi craquez-vous sur ce voisin discret que vous croisez une fois par mois quand vous sortez les poubelles?
Il n’est pas interdit de rêver à l’inaccessible ! Vous aussi, faites votre liste des 10 personnes avec qui vous partageriez bien 30 minutes (ou plus) de plaisir **
Vous l’aurez compris, lecteurs et lectrices, l’équipe du Sex in the Bled a décidé de partager avec vous ses fantasmes les plus fous. Voici les fameuses « listes de rédactrices » !
Chaque semaine, nous en divulguerons une nouvelle. Réactions, commentaires, explications : on n’attend que ça !
Captain Jack'
* L’expression « carnaval dans la petite culotte » est la propriété intellectuelle de Féline
** Que les petits copains éventuels ne se formalisent pas, il s’agit bien de fantasmes (mais on vous préfère mille fois !)
vendredi 6 mars 2009
"La Promesse faite à ma Soeur"

Rassurez-vous, ce titre ne me concerne pas personnellement, je n'ai jamais rien promis à ma soeur (sauf peut-être de lui rembourser les cadeaux de noël qu'elle m'avance depuis 1997). Il s'agit plutôt du titre énigmatique d'un livre.
Car oui, ce bog sera littéraire ou il ne sera pas!
Je viens de terminer les dernières lignes de ce roman, et j'ai voulu le partager avec vous. Il est en grande partie autobiographique, puisque Joseph Ndwaniye, d'origine rwandaise, raconte le retour au pays d'un jeune Rwandais, après 17 ans d'absence. Il y effectuera certainement le voyage le plus marquant de sa vie.
Parti pour retrouver sa mère et son frère jumeau, seuls survivants, il se retrouvera surtout face à face avec une réalité qui choque. La perte des repères, les souvenirs de son enfance, les témoignages poignants de ses compagnons rescapés, le plongent dans un questionnement non seulement sur les faits, mais également sur lui-même. Au delà du conflit extérieur, ce que Joseph Ndwaniye évoque surtout, c'est le conflit intérieur d'un Rwandais expatrié, car outre les difficultés que rencontrent souvent les étrangers en Belgique (qui s'assimilent souvent à une véritable lutte pour sa survie), persiste la terrible culpabilité de ne pas avoir été présent au moment des atrocités. L'auteur l'explique très bien : « J'eus le sentiment qu'en partant en Europe j'avais pris mon passé avec moi, et qu'en revenant au pays je n'arrivais plus à le réintégrer au présent. Il y avait une rupture. »
Pour ceux qui craignent de trouver dans ce livre des descriptions horribles et insoutenables sur le génocide de 1994, je les rassure tout de suite. La promesse faite à ma soeur n'est pas un livre historique au sens classique du terme. Il s'agit d'une vie, d'un destin, d'un homme, dont le chemin croise certes celui de l'horreur, mais qui cherche surtout à comprendre pourquoi il se retrouve dans les rues de son enfance, à se demander qui parmi son entourage est encore vivant et qui ne l'est pas.
Pour vous convaincre, si ce n'est déjà fait, voici un autre extrait qui illustre magnifiquement le désespoir des habitants du Pays des Mille Collines: « Dieu passe la journée ailleurs, mais n'oublie jamais de rentrer au Rwanda. C'est ce que tous les Rwandais croyaient.(...)Pour une fois, il avait oublié de redescendre sur le pays. »
Alors, pourquoi j'aime ce livre?
Pour le sujet: rarement une atrocité pareille aura été décrite de manière si personnelle. Le lecteur le vit totalement de l'intérieur, impliqué lui aussi dans le difficile schéma de reconstruction que doivent arpenter les victimes, 15 ans après le drame. Car le sujet ne concerne pas seulement les Rwandais, il traite en fait de l'humanité toute entière. La fuite honteuse de l'ONU au moment des faits, le déni totale de l'opinion internationale : nous portons tous la responsabilité de ce drame. Mais il n'est jamais trop tard pour réagir....
Pour le défi: Joseph Ndwaniye n'était en rien prédestiné à devenir auteur. Infirmier de formation, métier qu'il exerce encore aujourd'hui, il a pourtant décidé un jour de se mettre à écrire. La pulsion créative l'a mené à travers une aventure pour laquelle il n'était en rien préparé, et pourtant bien décidé, tout comme Jean-Jacques, à aller au bout de ses rêves. Et moi, les gens passionnés, j'adore ça! La fureur d'écrire est plus forte que tout...et tant mieux pour nous, lecteurs!
Pour l'auteur: j'ai rencontré Joseph Ndwaniye par hasard, dans un TGV entre Paris et Bruxelles. Nous nous sommes retrouvés assis l'un à côté de l'autre. La conversation s'est engagée facilement, rien d'étonnant avec quelqu'un d'aussi versatile et disponible que lui. Il m'a parlé de son livre, de cette nouvelle direction que prenait sa vie. Et là, il en a sorti un exemplaire, l'a dédicacé, et me l'a offert avec un sourire d'une gentillesse désarmante. Alors oui, rien que pour ça, je pourrais faire la promotion de ce livre partout où je vais, car il est rare de nos jours de croiser des petits miracles par hasard, dans les transports en commun, où tout le monde préfère plonger son nez dans sa solitude et ignorer le reste du monde (moi comprise).
Donc, la prochaine fois que vous prendrez le train, regardez bien autour de vous, il s'y cache peut-être de belles surprises! Et n'oubliez surtout pas d'emporter ce livre avec vous!
Bon voyage!
Féline-la-révoltée
P.S.: pour tous renseignements, voici le blog de l'auteur http://jndwaniye.skynetblogs.be/
Rompre le silence pour mieux comprendre...
Petit message perso...
...cherche band avec bons micros pour remplacher guitare fausse et chaudière...
Merci!
Ardrichnotsymphonich
jeudi 5 mars 2009
Amours chiennes et autres scoops
vendredi 27 février 2009
GOSSIP : "Et le gagnant est..."
Résultat du grand sondage SITB
Pour zyeuter le clip : http://www.best-clips.over-blog.com/article-26859593.html
Et comme on est sympas, voici l'intégralité des résultats:
Use Somebody - Kings of Leon
8 (36%)
The Fear - Lily Allen
2 (9%)
Sister - Emily Loizeau
5 (22%)
Katz - Austin Lace
2 (9%)
Mr Rock'n'Roll - Amy Mc Donald
3 (13%)
Aucun des titres susmentionnés, je suis essentiellement fan de l'oeuvre d'Yvette Horner
4 (18%)
L'accordéon a encore de beaux jours devant lui...
Prochain sondage incessamment en ligne: keep in taquet!
Drichliebedich
mercredi 25 février 2009
RUBRIQUE OH YEAH! OH YEAH!

mardi 24 février 2009
L’angoisse de la page blanche… Ou l’art de la procrastination
Voilà comment je m’applique à fuir mon rêve, comme l’amateur de voitures tente de résister aux conditions Peugeot. Pour une journaliste refoulée qui s’apprête enfin à faire le grand saut, c’est le comble. Et ça fait des années que ça dure !
Pendant mes études, déjà, jugeant que mes camarades de classe écrivaient bien mieux que moi, je me suis convaincue que « finalement, je n’aimais pas le journalisme ». Après tout, si chaque fois que je m’y mettais, j’étais à la limite de l’infarctus du myocarde, c’est que je n’étais pas faite pour ça. J’ai donc remballé pour deux ans de plus à l’unif, et quand est venu le temps (ou l’obligation ?) d’entrer dans « la vie active », j’ai été tour à tour serveuse, vendeuse, hôtesse, placeuse d’anti-vols dans l’arrière boutique du C&A et distributrice de toutes boîtes. L’intérim c’est facile, y a pas de pression, on n’attend pas grand-chose de toi.
Après moult stages bénévoles dans le domaine de la communication, histoire de me persuader que moi aussi, j’étais capable de fournir un travail de qualité en échange d’un salaire, j’ai enfin trouvé un emploi… dans un domaine tout autre.
C’est l’histoire de ma vie, la fuite en avant, comme disent les psys.
J’aime tout, je veux tout faire, tout lire, tout vivre, tout apprendre. Pas assez d’une vie pour arriver au bout de mon interminable « to-do list ». J’arrive pas à me poser, j’sais pas par où commencer. Et à force de m’éparpiller, d’être constamment sur plusieurs fronts, je finis par m’épuiser et par culpabiliser de n’avoir « rien fait ».
Cette hyperactivité que certains m’envient ne serait finalement qu’une stratégie inconsciente pour échapper à l’échec.
A l’échec, ou à la réussite ?
A méditer.
Si vous aussi, si vous avez peur de réussir, si vous aussi, vous procrastinez, laissez vos témoignages sur ce blog, je planche sur un article
Mimie,
La femme Barbara (du pauvre)
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lundi 23 février 2009
Le Crétin Van Connard (on a un quota pour les gros mots ou pas?)
Crétin Van Connard : n.m., symbole même du goujat, somme de tous les enfoirés qui, malheureusement pour nous, peuplent cette terre (in « La Grande Encyclopédie des Espèces Masculines », Sex in The Bled, 2009).
Le Crétin Van Connard traîne généralement dans les endroits branchouilles, repères de la jeunesse dorée bruxelloise. Il se situe dans la fourchette des 20-35 ans, est célibataire endurci, et convaincu que les femmes ont été créées dans l'unique but de lui procurer le plus de plaisir possible.
Il est très difficile à repérer pour un oeil inexpérimenté, car le Crétin Van Connard touche toutes les classes sociales, des buveurs de Cara Pils aux adeptes de Martini (avec une olive, bien sûr, car le Crétin Van Connard se prend un peu pour James Bond).
Mais voici quelques exemples de comportement typiquement « connardiens » qui éveilleront, je l'espère, votre vigilance.
Le Crétin Van Connard a une vision très personnelle de la générosité. C'est celui qui vous dragouille en vous expliquant pendant 2h tous les avantages financiers de sa situation de trentenaire célibataire, et qui vous emprunte 10 euros pour vous offrir un verre (ce qui est à moi est à moi, et ce qui est à toi est à moi aussi!).
Le Crétin Van Connard est aussi celui qui aime les défis. C'est lui qui vous touche le genoux toute la soirée, en vous lançant des regards lourds de sous-entendus scabreux, et puis qui va embrasser votre meilleure copine, histoire de voir s'il peut se faire les deux sur la même soirée.
Le Crétin Van Connard a très souvent des troubles de la mémoire courte. Il oublie toujours de vous dire qu'il est déjà casé!
Le Crétin Van Connard a également un sens très particulier de la logique. C'est le genre de mec qui, le jour de la Saint-Valentin, vous offre un gâteau avec des coeurs dessus, et qui le lendemain vous largue parce que « ça va trop vite! ».
Dans l'intimité, le Crétin Van Connard se croit infaillible. C'est celui qui explique son absence d'érection par le fait que vos 2 bourrelets lui gâchent la vue, toute hypothèse de problème mécanique étant tout de suite écartée (c'est un Crétin Van Connard, tout de même!).
C'est pour cela qu'il déduira tout naturellement, lorsqu'il n'arrivera pas à vous faire atteindre l'orgasme, que vous êtes une femme frigide et frustrée, sûrement à cause de votre éducation catholique (pas de bol si vous êtes bouddhiste!).
C'est également lui qui, après avoir passé la nuit à lui répéter 263 fois que vous vous appeliez Catherine, vous quitte en disant « Au revoir, Jennifer! ».
Le Crétin Van Connard, en somme, c'est celui qui n'a pas encore compris, et qui ne comprendra jamais, que l'on peut pratiquer le Free Sex sans pour autant en perdre son éducation et ses bonnes manières.
Le Crétin Van Connard est donc l'espèce à éviter, car il serait dommage de perdre son temps avec des hommes qui n'en valent pas la peine, alors qu'il y en a tant d'autres qui n'attendent qu'une seule chose...NOUS! Oui, je sais, il faut bien chercher, mais je suis sûre qu'il y en a (regardez Tanguy)!!!
Dicton du jour : « pourquoi se contenter d'une Jupiler quand on peut avoir une Chimay? » (in « Dites-le avec des bières , ou Les Expressions Bien de chez Nous!», Félindra, 2008).
Amicalement,
Féline-y-a-moyen-de-ne-pas-avoir-de-bol-avec-les-hommes!
P.S.: Les hommes qui liront cet article s'exclameront certainement, d'un air indigné, que tout ceci n'est qu'une caricature grossière des comportements masculins. Et bien, Messieurs, j'ai tous les noms et numéros des hommes décrits ci-dessus, donc si vous voulez je peux vous mettre en contact, histoire d'échanger des souvenirs de guerre (car le Crétin Van Connard se prend aussi un peu pour G.I. Joe).