vendredi 27 février 2009
GOSSIP : "Et le gagnant est..."
Résultat du grand sondage SITB
Pour zyeuter le clip : http://www.best-clips.over-blog.com/article-26859593.html
Et comme on est sympas, voici l'intégralité des résultats:
Use Somebody - Kings of Leon
8 (36%)
The Fear - Lily Allen
2 (9%)
Sister - Emily Loizeau
5 (22%)
Katz - Austin Lace
2 (9%)
Mr Rock'n'Roll - Amy Mc Donald
3 (13%)
Aucun des titres susmentionnés, je suis essentiellement fan de l'oeuvre d'Yvette Horner
4 (18%)
L'accordéon a encore de beaux jours devant lui...
Prochain sondage incessamment en ligne: keep in taquet!
Drichliebedich
mercredi 25 février 2009
RUBRIQUE OH YEAH! OH YEAH!
mardi 24 février 2009
L’angoisse de la page blanche… Ou l’art de la procrastination
Voilà comment je m’applique à fuir mon rêve, comme l’amateur de voitures tente de résister aux conditions Peugeot. Pour une journaliste refoulée qui s’apprête enfin à faire le grand saut, c’est le comble. Et ça fait des années que ça dure !
Pendant mes études, déjà, jugeant que mes camarades de classe écrivaient bien mieux que moi, je me suis convaincue que « finalement, je n’aimais pas le journalisme ». Après tout, si chaque fois que je m’y mettais, j’étais à la limite de l’infarctus du myocarde, c’est que je n’étais pas faite pour ça. J’ai donc remballé pour deux ans de plus à l’unif, et quand est venu le temps (ou l’obligation ?) d’entrer dans « la vie active », j’ai été tour à tour serveuse, vendeuse, hôtesse, placeuse d’anti-vols dans l’arrière boutique du C&A et distributrice de toutes boîtes. L’intérim c’est facile, y a pas de pression, on n’attend pas grand-chose de toi.
Après moult stages bénévoles dans le domaine de la communication, histoire de me persuader que moi aussi, j’étais capable de fournir un travail de qualité en échange d’un salaire, j’ai enfin trouvé un emploi… dans un domaine tout autre.
C’est l’histoire de ma vie, la fuite en avant, comme disent les psys.
J’aime tout, je veux tout faire, tout lire, tout vivre, tout apprendre. Pas assez d’une vie pour arriver au bout de mon interminable « to-do list ». J’arrive pas à me poser, j’sais pas par où commencer. Et à force de m’éparpiller, d’être constamment sur plusieurs fronts, je finis par m’épuiser et par culpabiliser de n’avoir « rien fait ».
Cette hyperactivité que certains m’envient ne serait finalement qu’une stratégie inconsciente pour échapper à l’échec.
A l’échec, ou à la réussite ?
A méditer.
Si vous aussi, si vous avez peur de réussir, si vous aussi, vous procrastinez, laissez vos témoignages sur ce blog, je planche sur un article
Mimie,
La femme Barbara (du pauvre)
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http://www.yokosound.com/
lundi 23 février 2009
Le Crétin Van Connard (on a un quota pour les gros mots ou pas?)
Crétin Van Connard : n.m., symbole même du goujat, somme de tous les enfoirés qui, malheureusement pour nous, peuplent cette terre (in « La Grande Encyclopédie des Espèces Masculines », Sex in The Bled, 2009).
Le Crétin Van Connard traîne généralement dans les endroits branchouilles, repères de la jeunesse dorée bruxelloise. Il se situe dans la fourchette des 20-35 ans, est célibataire endurci, et convaincu que les femmes ont été créées dans l'unique but de lui procurer le plus de plaisir possible.
Il est très difficile à repérer pour un oeil inexpérimenté, car le Crétin Van Connard touche toutes les classes sociales, des buveurs de Cara Pils aux adeptes de Martini (avec une olive, bien sûr, car le Crétin Van Connard se prend un peu pour James Bond).
Mais voici quelques exemples de comportement typiquement « connardiens » qui éveilleront, je l'espère, votre vigilance.
Le Crétin Van Connard a une vision très personnelle de la générosité. C'est celui qui vous dragouille en vous expliquant pendant 2h tous les avantages financiers de sa situation de trentenaire célibataire, et qui vous emprunte 10 euros pour vous offrir un verre (ce qui est à moi est à moi, et ce qui est à toi est à moi aussi!).
Le Crétin Van Connard est aussi celui qui aime les défis. C'est lui qui vous touche le genoux toute la soirée, en vous lançant des regards lourds de sous-entendus scabreux, et puis qui va embrasser votre meilleure copine, histoire de voir s'il peut se faire les deux sur la même soirée.
Le Crétin Van Connard a très souvent des troubles de la mémoire courte. Il oublie toujours de vous dire qu'il est déjà casé!
Le Crétin Van Connard a également un sens très particulier de la logique. C'est le genre de mec qui, le jour de la Saint-Valentin, vous offre un gâteau avec des coeurs dessus, et qui le lendemain vous largue parce que « ça va trop vite! ».
Dans l'intimité, le Crétin Van Connard se croit infaillible. C'est celui qui explique son absence d'érection par le fait que vos 2 bourrelets lui gâchent la vue, toute hypothèse de problème mécanique étant tout de suite écartée (c'est un Crétin Van Connard, tout de même!).
C'est pour cela qu'il déduira tout naturellement, lorsqu'il n'arrivera pas à vous faire atteindre l'orgasme, que vous êtes une femme frigide et frustrée, sûrement à cause de votre éducation catholique (pas de bol si vous êtes bouddhiste!).
C'est également lui qui, après avoir passé la nuit à lui répéter 263 fois que vous vous appeliez Catherine, vous quitte en disant « Au revoir, Jennifer! ».
Le Crétin Van Connard, en somme, c'est celui qui n'a pas encore compris, et qui ne comprendra jamais, que l'on peut pratiquer le Free Sex sans pour autant en perdre son éducation et ses bonnes manières.
Le Crétin Van Connard est donc l'espèce à éviter, car il serait dommage de perdre son temps avec des hommes qui n'en valent pas la peine, alors qu'il y en a tant d'autres qui n'attendent qu'une seule chose...NOUS! Oui, je sais, il faut bien chercher, mais je suis sûre qu'il y en a (regardez Tanguy)!!!
Dicton du jour : « pourquoi se contenter d'une Jupiler quand on peut avoir une Chimay? » (in « Dites-le avec des bières , ou Les Expressions Bien de chez Nous!», Félindra, 2008).
Amicalement,
Féline-y-a-moyen-de-ne-pas-avoir-de-bol-avec-les-hommes!
P.S.: Les hommes qui liront cet article s'exclameront certainement, d'un air indigné, que tout ceci n'est qu'une caricature grossière des comportements masculins. Et bien, Messieurs, j'ai tous les noms et numéros des hommes décrits ci-dessus, donc si vous voulez je peux vous mettre en contact, histoire d'échanger des souvenirs de guerre (car le Crétin Van Connard se prend aussi un peu pour G.I. Joe).
GOSSIP : "And the winner is..."
Mon premier cycle de sommeil entamé, j'ai toutefois pu suivre de manière subliminale - étudiante, j'avais déjà testé la méthode pour mes examens mais elle n'a jamais réellement fait ses preuves - un résumé de la foulée de la Red Carpet de l'année passée. Très spécial d'ailleurs de voir Sean Penn préparer un osso-bucco à ma belle-mère (dans mon rêve). Bref, il m'a fallu quelques quarts d'heure de frénésie onirique intense avant de me rendre compte qu'il s'agissait d'un événement trop has been pour je lui accorde le droit de nuire à la qualité de mon sommeil, et j'ai éteint la télévision. J'ai donc du me contenter du résumé d'Hugues Dayez au JP de ce matin. (Merci Hugues, que ferait-on sans toi?).
Vous aussi vous avez loupé la cérémonie la plus glams de l'année? Le Sex In The Blog, dans toute sa générosité, vous en offre ci-dessous le résumé. Ben oui, c'est aussi un peu ça notre mission, vous tenir informés des choses qui comptent...
Meilleur film : "Slumdog Millionaire" de Danny Boyle
Meileur réalisateur : Danny Boyle pour "Slumdog Millionaire"
Meilleur acteur: Sean Penn dans "Milk"
Meilleure actrice: Kate Winslet dans "The Reader"
Meilleur acteur dans un second rôle: Heath Ledger dans "The Dark Knight" (à titre posthume, évidemment)
Meilleure actrice dans un second rôle: Peneloppe Cruz dans "Vicky Cristina Barcelona"
Mickey Rourke repart broucouille et Brad et David, très déçus de ne pas avoir reçu les grosses statuettes pour "The Curious Case of Benjamin Button"
Toutes les infos sur http://www.oscars.org/
CinématograDrich-j'ai-rêvé-où-j'ai-vu-Tori-Spelling-sur-le-tapis-rouge-qu'est-ce-qu'elle-foutait-là?
(Tell me why) I DON'T LIKE MONDAYS (ou C'est lundi, c'est raviolis)
Voilà une question qui mérite d'être soulevée en ce lendemain-de-weekend douloureux. Reconnaissons-le, peu d'œuvres cinématographiques ou littéraires traitent de ce premier jour de semaine, que nombre d'entre nous semblent redouter comme on craint une gueule de bois imprévue avant une bonne fête programmée de longue date. Mais revenons à cette question cruciale que je me permets de vous soumettre dès-potron-minet. Je le disais, peu de films, peu de livres évoquent le réveil douloureux des protagonistes le lundi matin, la bouche pâteuse et le regard vitreux. On ne retrouve pas Cendrillon et le Prince Charmant le surlendemain du Bal. Le lendemain est déjà généralement éclipsé, alors qui en a quelque chose à faire du surlendemain? On imagine mal Prince Charmant dire à Cendrillon : "Bon, j'ai une conference call avec Père notre Roi et Dame Gisèle à 11h, je rentre tôt parce que j'ai la barre. Et si tu pouvais passer un coup de torchon quand je...Oh non, pardon, chérie, je ne voulais pas, chérie, reviens, c'était pour rire, Cendyyyy...." De même, qu’est devenue Viviane après qu'elle ait réussi à glisser ses fesses sans trop d'encombres dans le toit ouvrant de la voiture d'Edouard (Mais si allez, rappelez-vous, la fin kitschissime - mais qu'on a toutes revue 42 fois - de Pretty Woman : "Princesse Viviane, Princesse Viviane..."). Est-ce que le lundi matin, elle appuie 36 fois sur le bouton snooze de sa radio avant d’enfin décoller ses paupières et d'aller faire un p'tit Senseo à Eddy? Là où je veux en venir, c'est que cette matinée lundesque - tiens, il n'existe pas d'adjectif pour "du lundi" ? Ah ben non…- a pour moi valeur de métaphore. Le lundi est à la semaine ce que le mois de janvier est à l’année, et la quatrième année à la vie de couple : un passage vide, creux et - oserais-je ? - tue l'amour. C'est l'instant Z, celui où on touche presque le fond et où seul un bon coup de pied peut nous permettre de remonter à la surface. Une descente, certes pour prendre son élan et mieux repartir, mais une descente quand même.
Personnellement, je me réveille le lundi matin avec un sentiment de vide et de désespoir profond, dont j'ai l'impression que jamais je ne me débarrasserai. Et là, ce qu’il me reste de neurones semble aussi aphasique que moi. Aucun d’eux pour me dire : « Euh, Adri, ça va, relativise un peu, t’es pas à Gaza, t’as pas eu ta maison rasée par un incendie dévastateur, t’as même pas d’action chez Fortis, c’est juste lundi matin, tu vas t’en sortir, ma grande ! ». Oui mais, le lundi matin, ça veut dire aussi rouvrir les compartiments de notre cerveau qu’on avait fermés à double-tour pour le weekend. Et, avec mon bordel pathologique, quand je les rouvre, y a tout une grosse pile de papiers et de « to do list » qui en jaillissent. Et j’affronte ainsi ma semaine en mode « brouillon » (ou « draft » pour faire plus trendy). Sur des bonnes bases, quoi ;-).
Et oui, le lundi matin est définitivement "tue-le-glamour". Même le monde de la nuit a son lundi matin. Pour citer un chanteur franchouse pas aussi charming que son fils mais quand même « bien fait, ma foi » - comme dirait la voisine ardennaise de ma meilleure amie – et je précise que je n’ai rien contre les Ardennais, l’étant moi-même par mes parents - - « Les travestis vont se raser, les stripteaseuses sont rhabillées ». Et j’ajouterais : « Clem décide d'oublier le prénom de l’hidalgo qu’elle a rencontré vendredi à la soirée Anarchic, qu’elle va d’ailleurs oublier d’appeler ce soir. » « Féline se jure de ne plus boire de Triple Westmalle après du Liebefraumilch et de la Sangria du Colruyt quand elle est sous antibiotiques» (Bon, y a pas le nombre de pieds requis pour que mes paroles puissent s'incruster dans la chanson de Dutronc, mais bon, n'est pas Zazie qui veut, surtout...un lundi matin.
Quant à moi, je me console en écoutant la douce voix de Vanessa Klak énumérer les divers embarras de circulation qui ont lieu un peu partout dans Bruxelles et à sa périphérie, alors que j’avance, j’avance, j’avance sur les routes de campagne à travers des paysages presque verdoyants, avec ma jeune Padawan qui me sourit à l’arrière…
Bon lundi !
Adrichliebefraumilch
vendredi 20 février 2009
Le "Parler Vrai"
Ca y est, j'y suis, mon premier « article », ma première « oeuvre »....wouaaah, comment je me prends la tête, moi!
Cigarette à la bouche et Tracy Chapman dans les oreilles, les conditions sont réunies pour me laisser aller à quelques divagations sur certains problèmes relationnels que nous pouvons parfois rencontrer.
Le « Parler Vrai »...
L'idée de cet article m'est venue suite à une expérience que j'ai vécue il y a fort bien longtemps, lorsque je n'étais encore qu'une jeune fille naïve et idéaliste, que je croyais encore au Prince Charmant., il y a des lunes de cela, des années lumière...c'était il y a six mois...oui, je sais, on ne se refait pas...
Si j'entends beaucoup d'entre nous se plaindre, à raison parfois, du manque de sensibilité de leur conjoint, j'avais pour ma part trouvé LA perle rare. Un homme d'une sensibilité à fleur de peau, amoureux des arts et de la poésie, capable de comprendre mes tortueuses pensées de femme.
La preuve, quand je commençais à râler pour n'importe quoi (chose pour laquelle, je l'avoue, je suis très douée!), il ne me demandait pas si j'avais mes règles!!! Un animal rare, en voie d'extinction, une espèce qui devrait être, selon moi, protégée par la SPA et Greenpeace réunis. Rien à voir avec ce que j'avais connu auparavant...
Ah ça oui, ça me changeait des autres gorilles que j'avais eus dans ma vie, pour qui « chef, un p'tit verre, on a soif » était le summum de la poésie française, ou qui pensaient que « Nietzsche » était une nouvelle marque de machine à laver.
J'étais aux anges, persuadée d'avoir trouvé mon alter ego, la réponse à mes prières quotidiennes. Oui mais voilà, le problème avec les poètes, c'est qu'ils ne savent plus parler normalement! Si, au début, je trouvais cela mignon qu'il me dise bonjour en récitant Voltaire, je dois dire qu'au fil du temps, notre communication était un peu, même beaucoup, décalée. Lorsqu'il s'est senti obligé de chanter la 5ème strophe du « Don Giovanni » de Mozart pour me demander le sel, j'ai senti en moi monter une vague de haine contre l'opéra, un tsunami de dégoût pour les beaux mots, un ras-de-marée de nausée pour la langue française.
Comme dans toute relation suivie et assumée (ce qui n'est pas toujours le cas), arrive bien sûr le moment de s'avouer ses sentiments, de passer du « je t'aime bien » au « je t'aime » tout court, de commencer peu à peu à imaginer un avenir commun. Et là, il n'a pas été capable de trouver les mots justes...alors il a décidé de me tromper. Réaction typiquement masculine: ce que je n'arrive pas à exprimer avec des mots, je l'exprime avec le corps...j'aurais juste préféré que sa verve corporelle s'adresse un peu plus à moi qu'aux autres, mais bon...
Deux minutes, je me roule une clope...
Voilàààà....alors, qu'est-ce que je disais, moi...ah oui!
Donc rupture et tout ce qui va avec, le package complet larmes-colère-dépression tout en un! Je vous passe les détails, nous avons toutes connu ça...
Ce qui nous intéresse, c'est la suite. Nous arrivons (enfin) au coeur du sujet, le « Parler Vrai ». Car je me suis rendue compte, avec le recul, en ressassant nos discussions, en relisant encore et encore les messages échangés, en passant des heures et des heures sur son profil Facebookien, qu'il utilisait des codes!
Et oui! En fait, il avait essayé de me dire qu'il voulait me quitter, qu'il me trompait, qu'il se sentait perdu, mais d'une manière toujours si compliquée et mystérieuse que je ne le comprends que maintenant, c'est à dire trop tard.
Il m'avait tout dit, m'avait tout avoué, et moi je n'avais rien vu! Non pas que je me sente fautive de cela, faut quand même pas déconner, mais je suis restée sur le cul de voir que deux personnes si proches n'arrivent finalement pas à communiquer! C'était absurde! J'en ai même ri! Oui, enfin, un petit peu...
Ma belle histoire d'amour n'était en fait qu'un vulgaire jeux de mots, une charade, un calembour...
J'en ai donc retenu une chose, me méfier de ceux qui ne sont pas capables de dire tout simplement « je ne sais pas si je t'aime ». Phrase qui pourrait paraître cruelle aux yeux de certaines d'entre vous, mais qui à mes yeux, suite à cette expérience, apparaît comme une bouffée d'honnêteté rafraîchissante.
Nous crions souvent haut et fort que nous ne voulons rien d'autre qu'une relation vraie et authentique, mais soyons franches, mesdames, nous espérons surtout que nos hommes nous disent ce que nous voulons entendre. Qu'il nous dise « je t'aime » entre chaque cuillerée de céréales. Qu'il nous dise « tu es belle », même un lendemain de guindaille. Qu'ils nous disent « pour toujours », même si nous, nous doutons de lui parce qu'il laisse des poils dans la baignoire.
Bref, le « Parler Vrai » va dans les deux sens...
A force d'utiliser les mots, ils en perdent leur nectar. S'il vous dit aussi souvent « je t'aime » que « je ne rentrerai pas tard, promis! », comment fait-on pour savoir que ces mots ont encore un sens? Qu'ils ne sont pas mécaniques?
Ne vaut-il pas mieux un homme qui vous le lâche peut-être rarement, mais toujours au moment qu'il faut, quand vous vous y attendez le moins, ou quand vous en avez besoin le plus...
Bon, d'accord, l'idéal serait d'avoir un homme qui le dise tout le temps en le pensant très sincèrement, mais bon, les filles, réveillez-vous!
La vérité nous fait peur, car nos histoires de coeur sont fragiles, et nous veillons à en prendre soin, quitte à dire des choses qu'on ne pense pas. A vouloir trop bien faire, nous réduisons nos mots à de simples réflexes. Et quand vient le jour de se dire la réalité telle qu'elle est, on bafouille, on bégueye, car on ne nous a pas appris quel code utiliser dans ces cas-là.
Dans un couple, il n'y a rien de pire qu'une sécheresse de mots...
Chef! Un p'tit verre, on a soif!
Féline
Félicitations!!!
Chères lectrices, chers lecteurs (ils seront peu nombreux je pense...quoique...),
Il est né le Cyber Enfant, notre bébé interactif, notre progéniture.com.... LE blog de Sex In The Bled! C'est donc avec beaucoup d'émotion que je vais poster ici mon premier message, mes premières impressions, mes premières considérations, qui ne seront plus cette fois partagées seulement par mes amies fidèles, mais également par une multitude (deux, jusqu'à présent) d'internautes.
Quel trac....
Ceci dit, je ne doute pas que le nombre de visites grimpe telle une flèche, vu que le mot « Sex » figure dans le nom de notre blog. Ce qui signifie que tous ceux qui pensaient passer une soirée pop corn devant un bon vieux porno se retrouveront finalement face à nos élucubrations féminines sur la vie, les hommes, les femmes....désolée, les gars!
Mais maintenant que vous y êtes, jetez donc un p'tit coup d'oeil!
A tout de suite!
Féline-haut-les-seins (pas la peine de vérifier, il n'y a pas de photo de mes nichons!!!)
Foire aux Questions
- Pourquoi "Sex In The Bled"? Parce que "Sex And The City" était déjà pris. Et parce que c'est pas pire que "Le banc de Rollmops du Canal de Willebroeck" ou "Les vieilles filles en fleurs". Donc à la question pourquoi, nous répondrons "Pourquoi pas?" et à la question "Pourquoi In et pas And?" nous répliquerons que nous voulions rendre hommage à notre société de transports en commun bruxelloise, puisqu'en réduisant notre intitulé à ses initiales, nous obtenons "SITB" (et comme Stib était déjà pris, ça tombait bien). Heureuses qui communiquent...
- Pouvons-nous prendre part aux débats hautement philosophiques que vous entamez? Oui, bien sur, c'est d'ailleurs un peu le but de ce blog. Nous espérons que vos réponses à nos chroniques de comptoir seront nombreuses.
-Pouvons-nous vous envoyer des lettres d'insulte? Oui, mais seulement si elles sont rédigées dans un français grammaticalement et orthographiquement correct (voir groupe éponyme sur Facebook).
- Comment cela se-fait-il que vous ayez le temps d'étaler votre verve sur la toile alors que moi je n'ai le temps d'aller sur Facebook que 3 minutes par jour dans le dos de mon patron?
En fait, nous n'avons pas le temps. Il y a juste que nous sommes toutes des intermittentes de la presse ou de la vie associative (enfin, presque) et que notre horaire est assez "vul in". Ca dépend des jours, quoi.
On ne prend pas les mêmes, et on recommence !
Tout ça pour dire que, dans l'empressement, j'ai omis de citer deux de nos membres dans le message d'inauguration! Grosse honte sur moi! Il faut dire que l'une d'elle, après son retrait des planches qui dura quelques années - suite à une brûlure au 3ème degré causée par les feux des projecteurs - nous a re-rejointes sur le tard sur la scène de la vie bruxelloise. Il s'agit de notre blonde et néanmoins vive d'esprit Elodie, dite Lolo, mieux connue dans la Cité Ardente (décidémment une femme chaleureuse...) sous le nom de La-Jeune-Fille-Sur-Le-Pont, sobriquet qui lui fut attribué par la pègre liégeoise en raison des nombreuses heures qu'elle passa et passe encore quotidiennement sur le pont JF Kennedy, à peindre des natures mortes durant ses temps tout aussi morts, ou à bouquiner en mangeant des Lacquemants sur le chemin du retour du boulot.
L'autre lésée du jour n'est autre que la jeune Rosa qui, comme son nom l'indique, est d'origine latine. Italienne par son père, belge par sa mère, congolaise et burundaise par les tripes, ce côté citoyenne du monde ne lui permet plus aujourd'hui de briller par sa présence à nos réunions, et est donc à l'origine de mon oubli... Toujours les fesses entre deux aéroports, elle est à l'aéronautique ce que Lucky Luke est à Joly Jumper : une fidèle passagère. Nous espérons cependant que cette blog-travelleuse, actuellement en stand by dans la capitale, prendra ponctuellement quelques minutes de son temps de working girl pour nous faire part de ses états d'âme en ses pages.
Mea Culpa, Rosa, Rosa, Rosae...
Je vous rejoins dans un autre message pour vous présenter le reste des rédactrices...
Drichon-Patapon
jeudi 19 février 2009
Naissance d'un blog
Bonne lecture!
La sauvageonne.